Paul Watson © Seashepherd 

Environnement, Solidarité

La Ville de Bayonne soutient Paul Watson

Sous le slogan "Sauver les baleines n'est pas un crime", une affiche trône à l'entrée de l'Hôtel de Ville. Elle montre un Paul Watson souriant et invite les habitants à signer la pétition en ligne demandant sa libération.

Publié le

Interpellé au Groenland fin juillet suite à un mandat d'arrêt lancé par le Japon, Paul Watson est accusé d'être co-responsable de dommages et blessures causés en 2010 lors d'un sauvetage de baleines dans le sanctuaire baleinier international de l’Antarctique. Son incarcération au Groenland a été prolongée jusqu'au 18 décembre, alors que le Japon demande son extradition. Au vu des motifs fragiles de l'accusation et parce que "Sauver des baleines n'est pas un crime", plus de 200 000 personnes, ainsi que des associations et collectivités, comme Bayonne, demande sa libération. La Ville de Bayonne invite un maximum de personnes à signer la pétition en ligne pour demander sa libération.