Arènes de Bayonne

El de Gerena se sobrepuso a un volteretón, dio una gran dimensión y se entregó sin límite bajo el diluvio en una faena de oreja de ley que el presidente no concedió.

Al gerenense le birla el palco una oreja, repitiéndose el maltrato de ir una sola tarde a Las Ventas

Manuel Escribano accueillit ses deux toros à genoux, « a porta gayola ». Chapeau pour le risque encouru, d’aurant plus au cinquième vues les conditions de la piste et ce qui l’attendait dans les torils : un toro extrêmement armé mais qui lui aussi cachait une certaine noblesse. Manuel le banderilla, comme à son premier, avec assurance et éclat. Sous l’orage, le toro s’affala en tout début de faena mais son matador sut très bien calculer les distances et trouver les hauteurs. Après une très belle naturelle où Escribano s’était senti « a gusto », le toro, inopinément, l’attrapa. Sans l’encorner. Des instants dramatiques, surtout quand il se retrouva à terre et le toro le cherchait. Un miracle qu’il en soit sorti sans la moindre égratignure. La faena fut vécue dès lors avec beaucoup d’émotion et Manuel instrumenta des passes de belle facture et surtout il remata sa prestation d’une très bonne estocade. De manière incompréhensible, le président ne lui accorda pas l’oreille alors que la pétition était largement majoritaire. Un manque de sensibilité de sa part et probablement d’aficion.

Manuel Escribano dio una vuelta al ruedo tras fuerte petición de oreja después de que incomprensiblemente, el presidente le negara un premio ganado a ley, tras haber sido cogido por un quinto de Adolfo Martín al que lidió en medio de un tremendo aguacero. Entre la fuerte bronca al palco, el torero sevillano se abrió y expresó con total sinceridad en los micrófonos de One Toro.